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L'Autoroute Sauvage

par Mr. Kanard

Avec son style fluide qui nous transporte, Julia Verlanger, de son vrai nom Éliane Grimaître (auteur français des années 50) avance le temps et nous plonge dans notre chère France, version post-apocalyptique. La civilisation comme on la connaît, c'est terminé. Finit l'eau courante, l'électricité les maison, le Parlement, le Président, etc... En même temps, le pays (et le reste du monde) s'est pris des bombes bactériologiques de toute part, donc le résultat n'est pas joli joli...

Le héros du livre, c'est un mec répondant au nom de Gérald, c'est un  "Solitaire" (c'est drôle, mais on les appelles comme ça parce qu'ils voyagent tout seul...) un gars bien entraîné à la vie sauvage, qui tue tous ceux qui lui cherchent des ennuis (ou sa viande, parce que c'est rare la nourriture...). Après les Solitaire, il y a les "Groupés" (c'est facile, c'est ceux qui vivent en groupe) et la plupart sont dirigé par un Monsieur qui se prend pour Hitler ou Staline, au choix. En plus de ça, il y a une maladie qui traîne, c'est la « Peste Bleu Â», c'est pire que la peste, et c'est pas beau à avoir (ni à voir).

Sur sa route, il va rencontrer une belle fille, Annie, et bien que ce soit un dur, son cœur (et autre chose) prennent le dessus, ce qui fait qu'il l'emmène avec lui, pour lui dire plus tard qu'elle doit à tout prix partir pour Paris... En avant guingan, sur l'Autoroute Sauvage...
 

Si vous aimez le premier tome et cette univers dévasté qui ressemble en fait à nôtre société (à la seule différence que nous n'avons pas de docteur ni de confort, et que pour manger, on ne met pas son collègue de travail en échec, mais on le tue) lisez la suite, « La Mort en Bille Â» et « L'île Brûlée Â» !

Pour le trouver, il faut chercher soit dans vos bibliothèques, et si vous avez de l'argent, cherchez dans vos librairies, son prix est assez élevé: il est considéré comme une perle rare de la littérature SF... (Perso on me l'a prêté).

                                                                            Universallement votre, Mr. Kanard.

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